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Science -fiction de l’univers

Ce qui va suivre est de la pure science-fiction, un jeu d’imagination

Les théories scientifiques ne donnent pas toutes les réponses que nous attendons. Qu’y avait-il avant le big bang ? ou encore Que deviennent les trous noirs ? On ne peut pas le dire, mais rien ne nous empêche de jouer à l’imaginer. De la folie née parfois la raison.

Imaginons un trou noir qui « dévore » tout ce qui passe à sa portée. Il devient de plus en plus  massif, de plus en plus chaud, et son périmètre d’action s’accroit. Ceci lui permet d’attirer de plus en plus de corps céleste, et donc de se massifier de plus en plus. C’est un phénomène de « boule de neige » dans lequel le trou noir pourrait grossir à l’infini, avalant à l’infini les composants de l’univers. Les trous noir peuvent de plus fusionner, le plus gros avalant le plus petit.

Mais se massifier à l’infini n’est guère possible et vient un moment ou la densité du trou noir est si forte, les composants si proches que les forces électromagnétiques de répulsion finissent par l’emporter sur les forces gravitationnelles d’attraction. Alors le trou noir se dilate et se produit le phénomène attendu du Big Bang. L’univers qui s’était contracté se dilate selon les lois de la relativité. Nous avions donc avant le Big Bang un univers en contraction qui venait lui-même d’un univers en dilatation. Il n’y a plus alors « d’avant le Big Bang » mais un phénomène cyclique de dilatation-contraction de l’univers sans début ni fin. Mais qui a commencé : « La poule ou l’œuf » 

Nous avons supposé dans ce qui précède qu’un seul trou noir avait avalé tout l’univers avant de se dilater. Mais le plus vraisemblable et que plusieurs trous noirs peuvent coexister à des stades différents de contraction et que certains peuvent arriver à leur phase de dilatation quand d’autres sont encore en contraction. On voit donc apparaître la possibilité de plusieurs Big Bang au sein de l’univers. Il n’est donc plus question d’un Big Bang qui aurait créé l’univers mais de myriades de Big Bang générant des myriades d’univers. Toutes les entités de l’univers n’ayant alors pas le même âge relativement à leur origine.

Arrive alors la notion d’univers parallèles dans lesquels les corps célestes n’auraient pas le même âge par rapport à leur origine ou à l’origine des constituants des autres univers. La porte serait ouverte aux voyages dans le temps que notre vision du Big Bang unique ne permet pas.

Également possible le jeu de la rencontre d’entités célestes venant d’univers différents. Les martiens et autres sélénites deviendraient ringards, et place aux rencontre inter galactiques.

Ajoutons que des trous noirs en formation pourraient absorber des éléments d’un autre univers en dilatation complexifiant ainsi les fusions des univers en recyclant les élément de l’un dans les processus des autres.

Tout ceci n’est qu’un jeu, mais c’est toujours amusant de rêver, même en ayant conscience qu’il s’agit d’un rêve.

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