Quand on fait un enfant, on lui donne un nom. Pour une théorie, c’est la même chose. J’avais d’abord choisi le nom de psychologie situationniste, mais cela sonnait un peu comme un opportunisme. J’ai ensuite opté pour psychologie relativiste qui, de prime abord m’avait paru un peu trop proche du nom de la théorie d’Einstein. Puis à la réflexion, dans la théorie de la relativité les corps perdent leurs propriétés propre pour se définir dans la relation qu’ils ont avec les corps environnants. (via leur interaction envisagée comme la déformation réciproque qu’ils font subir à l’espace-temps).
Ceci m’a paru tout à fait en phase avec la théorie que je vais exposer. J’ai donc adopté le nom de « psychologie relativiste ».