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Un des paramètres important de la conscience cognitive est sa plasticité. Une conscience cognitive peut être rigide ou laxiste.

1)  Conscience cognitive rigide. Les liens logiques entre les diverses représentations de la mémoire sont simplistes, sans nuances, basées sur des certitudes. L’intégration de nouvelles informations sera difficile. Les structures logique des liens entre les représentations sont si peu nuancées qu’il est très difficile de réaliser l’adaptation de nouvelles informations au vécu existant et toute nouvelle tentative d’intégration a tendance à être refusée. Non seulement l’intégration ne se fait pas mais, en plus, cette tentative est vécue comme une agression (une déstabilisation). La conscience cognitive rigide définie un comportement « paranoïde », rigide, dirigiste, hostile aux autres, et peu ouvert sur la nouveauté. C’est la porte ouvertes aux pathologies paranoïaques, narcissiques,

2)  La conscience cognitive laxiste. Au contraire les relations logiques entre les représentations mentales sont un peu floues. Elles ne se considèrent pas comme des certitudes, mais plutôt comme des approximations, des possibilités. Les informations nouvelles trouverons toujours un biais pour s’adapter à ce vécu incertain. Le comportement sera dit « hysteroïde », ouvert aux autres, de nature plutôt suiveuse, adaptable, avec un manque certain de confiance en soi, et ouvert aux idées nouvelles. C’est la porte ouverte aux pathologies qui se fondent sur l’absence de références, l’identité flottante, la dépression, les addictions, et une nature angoissée.

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