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Disons en préalable que la radicalisation ne concerne pas que la radicalisation des individus dans « l’Islam radical ». C’est un phénomène général qui peut toucher tous les milieux et toutes les cultures. Les croisades, l’inquisition, la terreur révolutionnaire, le nazisme, les dérives communistes de Staline et Mao, sont autant d’exemple de radicalisation que nous apporte l’histoire. Il y a deux sortes de radicalisation qui touchent des profils bien différent.

  1. Les personnages à conscience rigides. Incapables de s’adapter aux idée qui ne sont pas les leurs. Toutes idées en désaccords avec leur acquis est rejetée et considérés comme une agression  contre eux. Ce sont des individus à profil narcissique et paranoïaques. Dans les mécanismes de radicalisations ce seront les leaders. Ils ont besoin de créer autour d’eux un environnement en accord avec leur pensée.
  2. Les personnages à conscience au contraire trop laxe. Ils sont en manque de références et ont besoin de se rattacher à un système référent extérieur pour se sécuriser. Ce seront des suiveurs manipulés  par les individus narcissiques et paranoïaques décrit plus haut. Ils auront une radicalisation aussi déterminés que leurs mentors car la remise en cause de ces derniers serait la remise en cause de leurs références, de leur « bouée de sauvetage ».
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