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Il nous arrive souvent dans la vie de nous trouver en position d’intermédiaire entre deux personnes en conflit. Cette position d’arbitre est toujours difficile à vivre, et  si nous cherchons à l’assumer nous sommes souvent amené à nous fâcher avec les deux parties Le rôle de médiateur et plus délicat qu’il n’y paraît !

Le terme média vient du Latin « media/mediatum » qui signifie milieu. Il représente également la notion d’intermédiaire (celui qui  est au milieu) ce qui  dans la société moderne lui à donné son sens de moyen de communication.

Les conflits entre personnes, s’ils se cristallisent sur un événement particulier (et en général récent) ont des racines bien plus profondes qui prennent naissance dans les failles de la personnalité de chacun des acteurs. Dans la médiation il est hors de propos de tenter de corriger ces failles (Ce qui serait du ressort d’une thérapie) mais au  contraire d’accepter les personnalité telles qu’elles sont … comme dit vulgairement : « on fait avec ! »

Cependant il est souhaitable (sinon nécessaire) de bien comprendre le fonctionnement psychologique de chacune des parties. Analyser leurs passés, les expériences de chacun, leurs jeunesses, le milieu familial, la culture, qui a la conscience rigide ou laxe, qui peut être dominant ou dominé, ce qui peut déterminer le positionnement de chacun, quels sont leurs besoins fondamentaux (de sécurisation). C’est ce tableau clinique qui va déterminer les outils, les leviers, avec lesquels le médiateur pourra jouer pour amener les deux parties à mieux se comprendre, à mieux comprendre l’autre. C’est un point fondamental car si jouer des bons leviers peut amener à réussir une médiation, jouer avec les mauvais leviers peut amener à l’échec de la médiation, voire à empirer la situation.

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