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Définir l’humain est évidemment une tâche quasi impossible dans la mesure ou une entité n’a guère la possibilité de s’ « auto-définir » dans la mesure ou toute définition s’établie par rapport à une référence. Une définition ne peut être absolue, elle est toujours relative. Pourtant il nous faut bien ces bases référentes pour mener à bien notre propos.

Dans l’incapacité d’obtenir la vérité sur l’humain nous devrons en donner une représentation, un modèle. C’est une démarche scientifique des plus classique. Faute d’accéder à la vérité de la nature, on en développe des modèles (appelés Théories) qui permettent de travailler et de progresser. Évidemment ces modèles sont toujours imparfaits et doivent sans cesse être améliorés, voire remplacés par des modèles plus performants et mieux adaptés aux nouvelles connaissances. C’est le lot de toutes théories que de permettre le progrès des connaissances, lesquelles viendront mettre en défaut la théorie qui les a généré. Ainsi va le monde des sciences, construire pour détruire et rebâtir ! 

Il existe de très nombreuses représentations possibles de l’humain et du vivant. Dans les religions l’humain est une créature de Dieu dont l’objectif sur terre est d’acquérir une sorte de divinité qui lui ouvrira les portes de la vie éternelle. Pour Darwin l’humain sera le produit d’une évolution, définit par son vécu, par un hasard et des nécessité. Les définition de l’humain sont innombrables et nous choisirons pour modèle celui de « l’humain communicant »

Dans ce modèle l’humain est défini comme une capacité de percevoir et une nécessité d’exprimer. Il se défini donc dans, et uniquement dans, le cadre de sa relation à son environnement. L’humain perçoit, intègre, et réagit à ce qui l’entoure. Ce modèle n’exclut nullement la genèse de l’humain, qu’il soit une créature de Dieu, ou le simple fruit d’une évolution. C’est par ce mécanisme d’échange que l’humain existe, dans un processus permanent d’analyse et d’évaluation de sa relation à son environnement. La notion de positionnement devient donc, dans ce modèle, le fondement même de l’existence et la « colonne vertébrale » de la psychologie relativiste.

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