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On a l’habitude de classifier les êtres vivants selon les trois règnes principaux. Il existe (comme dans toute classification) un certain « overlap » entre les diverses catégories

Dans les trois règnes on observe une conscience que j’appellerai « organique ». Le terme conscience est évidemment un contre-emploi quand on parle de mécanismes inconscient. Je préfèrerais le terme de « psyché organique ».Ce sont les fonction inhérente à l’espèce, innées et nécessaires à la survie. Pour les plantes on peut citer la photosynthèse, les métabolismes généraux, les mécanismes de reproduction, pour les animaux et les humains les fonctions digestives, respiratoires, la circulation sanguine, la reproduction. Sans ces fonctions innée l’espèce ne peut être viable, ne peut exister

Chez l’animal et l’humain les perceptions peuvent conduire à l’archivage de schémas émotionnels (ce qui n’est pas totalement exclu pour les plantes. Ceux-ci vont engendrer les comportements que nous pouvons observer. On peut ici parler de conscience émotionnelle.

Chez l’humain, enfin, ces émotions peuvent se structurer dans des représentations cognitives, dans un récit biographique. Cette capacité de structuration confère à l’humain ses possibilité d’imagination et de création.   

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