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Réflexions non abouties !

Je vous livre ici quelques réflexions, non abouties, à propos des problèmes que peut poser le positionnement. Rappelons que le positionnement est le fait de l’analyse critique des ressentis émotionnels par la conscience cognitive de façon à les intégrer à celle-ci. Il va ensuite déterminer nos attitudes devant la vie et nos comportements. C’est l’élément essentiel de notre sentiment de vécu.

reflexionCes réflexions pourront ou non être retenues, et s’intégrer ou non à notre modèle … qui vivra verra ! L’innovation est la piste que l’on trouve au milieu de milliers de cul de sacs

Le Cannabis induit une perte de positionnement, d’ou la sensation de « planer », perte des valeurs, d’intérêt et de goût pour les choses d’ou un certain sentiment de se libérer des contraintes, mais génération (apparemment paradoxal ) d’un état dépressif.

La formation de la conscience cognitive à l’adolescence si elle se fait sous abus de cannabis, conduit à une faible structuration de la psyché, à un état mal positionné, et une vulnérabilité aux chocs émotifs.

Le mal des transport est fréquent chez les enfants, il disparaît généralement à l’âge adulte.

Il est reconnu être un défaut de positionnement dans l’espace chez l’enfant via l’analyse des positionnements par l’oreille interne.

Le fait qu’il disparaisse à l’âge adulte avec la structuration de la conscience cognitive fait songer à une relation entre la maturité de la conscience et le mal des transports.

Bouddha propose, pour atteindre la sérénité, d’abandonner toute conscience (cognitive?) et de se retourner sur soi même pour exister en tant que soi et non en relation avec les autres. Il serait, ainsi, resté 3 ans sous un arbre à méditer.

J’observais l’autre jour le chat de mes voisins, couché sous un arbre durant des heures, et je n’ai put m’empêcher de faire un parallèle. Le chat à une conscience cognitive rudimentaire et vit plus sur un mode instinctif, émotionnel que raisonné … un peu selon les préconisations de Bouddha.

Bouddha nous proposerait donc, pour atteindre la sagesse, de vivre sur un mode plus animal que humain. Pourquoi pas !

Le chat aurait une conscience cognitive rudimentaire, et pourtant peu d’êtres vivant on une perception de l’espace, un positionnement géographique aussi précis que lui. Il y a la un paradoxe que je n’explique pas. Peut être que le positionnement dans l’espace correspond au premier niveau de la conscience cognitive, ses premier rudiments.

La thérapie par la médiation animale semble avoir dans certains cas un effet très positif. Il serait intéressant d’en décrire le mécanisme pour définir dans quels cas l’utiliser. Le développement d’une relation avec un animal, hors de toutes les craintes de la relation aux autres, devrait être un excellent moyen de créer une relation solide, non anxiogène, et de développer une base de positionnement qui sera le noyau de la création (ou de la consolidation ) d’une conscience cognitive. C’est un parfait premier pas dans une thérapie pour des patients en défaut important de positionnement. Elle peut leur donner confiance et bien être dans leur vécu. Ce n’est sans doutes qu’un premier pas, un « pied à l’étrier », le premier étage nécessaire à une thérapie plus orientée sur la relation à autrui, vers l’intégration sociale.

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